Point n’est besoin de mourir pour connaître les cercles de l’enfer, du purgatoire et du paradis, affirmait Philippe Sollers. C’est du rapport à la raison poétique qu’il situait ces états, décrivant l’enfer d’aujourd’hui comme le non-accès à la poésie.
Sollers a fait très jeune ce choix d’entrer directement au paradis, « pas du tout artificiel », de loger la jouissance du corps dans la littérature, d’en jouer comme d’un instrument avec son rythme, sa pulsation, ses fulgurances, ses silences…
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