Si les natures mortes ne sont pour Gérard Wajcman ni natures, ni mortes, c’est qu’elles parlent lalangue du corps1Cf. Laurent É., L’Envers de la biopolitique. Paris, Navarin, 2016, p. 46.. Articulés au corps, par l’effet qu’ils produisent sur nous, les objets des natures mortes, parlent de notre corps vivant, se font vitrines des jouissances de l’homme, vitrines de la vie2Cf. Wajcman G., Ni nature, ni morte, Paris, Nous, 2022, p. 83..
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