Il y a aujourd’hui une pente à éviter, voire à contrer, le transfert – il faudrait que le patient ne manifeste aucune affection ou hostilité, ni qu’il s’installe de façon prolongée dans un lieu, ni qu’il témoigne du savoir qu’il suppose à telle institution, à tel professionnel. Bref, il vaudrait mieux qu’aucune rencontre n’ait lieu…
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