Notre praxis d’analyste nous forme à devenir des détaillants de la clinique. Il y a d’abord le premier temps, celui d’une pratique qui s’appuie sur des classes cliniques à partir du particulier commun à quelques-uns. Un clinicien bien orienté et en analyse pourra rencontrer ensuite le signifiant du manque dans l’Autre, voire son inexistence, moment nécessaire pour une disponibilité au « propre à chacun ». En somme, après la pratique de gros, vient la praxis du détail.
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