Poésie et psychanalyse ont destin commun, celui de paraître parfois obscur, opaque, inclassable, indéchiffrable, dérangeant car laissant sourdre, au fil des vers et des sonnets, des témoignages et des écrits, un impossible à dire qui court entre les mots, entre les phrases, entre les lignes. Une jouissance qui, défeuillée de ses habits imaginaires où le parfum du sens enivre au point d’en ternir l’essentiel, finit par affleurer dans cette langue dépouillée.
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