Ce numéro consacré aux 55es Journées de l’École de la Cause freudienne sur le comique dans la clinique sera ainsi le dernier d’une série flamboyante dont maints échos positifs nous sont parvenus.
Le premier numéro a été consacré à la notion même du comique. Il a été rappelé que ce que Lacan désigne comme « comique pur » s’avère lié au surgissement de l’objet a. Il ne s’agit guère d’une aventure rigolote ou plaisante, mais de la vérité du sujet qui n’est pas en lui-même mais dans cet objet. Dès lors, le comique s’affranchit des catégories diagnostiques : il est transclinique. D’où le lien entre le comique et l’angoisse dans la mesure où l’apparition de l’objet a dans le champ de la réalité s’accompagne de certains effets d’étrangeté. Le comique déroute le sens commun.
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