
À l’ère de la surexposition, où la transparence est devenue injonction et où l’impératif du dévoilement s’impose jusque dans l’intime, que reste-t-il du voile et de la pudeur ? Ces notions, souvent pensées comme des obstacles ou des restrictions, ne sont-elles pas plutôt des modalités de traitement du réel, des tentatives de nouage entre le corps, le langage et la jouissance ?
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